| | J U N E. C R A W F O R D [ U.C. ] | |
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June Crawford can I haveTHIS DANCE ?
Nombre de messages : 10 Age : 29 { Where are you : In my Barbie World { Your love : && I'm waiting for you Date d'inscription : 02/11/2008
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| Sujet: J U N E. C R A W F O R D [ U.C. ] Dim 2 Nov - 18:48 | |
| I. } YOUR IDENTITY.
■ Noms; Crawford ■ Prénoms; June Ellen ■ Surnoms; Ju' ■ Date & lieu de naissance;16 octobre 1990 à Dover ■ Age; 18 ans ■ Groupe; Alone
II. } ONCE UPON A TIME.
■ Histoire Dover, le 16 octobre 1990. Le soleil brille discrètement derrière quelques nuages pendant que le vent de début d’automne rappelle sa présence en soufflant dans les arbres. Poétique n’est ce pas ? Oui je sais, mais ce n’est pas ça qui nous intéresse là dedans. C’est à 21h04 très précise, ce jour là, dans un hôpital de la petite ville anglaise qu’un joli bébé poussa son premier cri. Le premier d’une longue série, d’ailleurs, mais les parents ne le savaient pas, et étaient trop occupés à admirer leur enfant. Une fille a annoncé le médecin, ce que les parents savaient déjà. Ils avaient décidés de l’appeler June, en hommage à la mère décédée de la jeune maman. June Crawford est la fille de Jack Crawford, avocat renommé, et de Pearl Crawford, son associée et femme depuis maintenant trois ans. Le couple représente la réussite sociale parfaite : métier qui rapporte, importante place sociale, et désormais, un beau bébé qui gazouille dans les bras, que demander de plus ? Tout le monde les admirait, mais derrière leurs dos, la plupart chuchotaient : « on verra si ils afficheront le même sourire dans 15 ans ! ».
15 ans plus tard, la famille se porte bien. Jack et Pearl ont encore gravis quelques échelons sur l’échelle de la réussite, étant plus épanouis et connus que jamais. Leurs vêtements sont toujours impeccables, leurs dents blanches, comme de vraies pubs pour Colgate vivantes. Clichés ? Exactement, ces deux personnes sont de vrais clichés vivants. Et leur fille dans tout ça ? C’est différent… June a désormais 15 ans, de longs cheveux foncés, un physique angélique qui fait sa popularité, et un dressing qui fait la taille de la maison de la plupart de ses camarades de classe. Vous connaissez ces garces super riches qu’on voit dans les films ? Et bien vous en avez l’exemple parfait sous les yeux ! Riche, jolie, peste et rusée, robe Chanel, escarpins Louboutin et sac Vuitton, encore un cliché non ? Apparemment, c’est de famille, pourtant les images que dégagent les parents et celle de leur fille sont bien différentes. Au lycée, elle est assez populaire avec sa meilleure amie, October Kennedy, qu’elle connaît depuis toujours. Les deux filles sont comme des sœurs, toujours fourrées ensemble, et sont exactement pareilles, malgré toutes leurs différences ! Cette phrase est incompréhensible pour le reste du monde, mais à une grande portée à leurs yeux, être pareilles malgré nos différences… C’est comme la devise du duo !
3 ans passent, June change. Elle suit des études de mode, ce qui a toujours été sa passion. Les épreuves qu’elle a traversée l’ont obligée à devenir moins matérialiste. Ses parents se sont séparés l’année de ses 15 ans, dans un divorce sanglant qui a fait perdre beaucoup d’argent à Jack. Quand un bon avocat se marie à une excellente avocate, la séparation fait toujours des dégâts ! La raison de cette séparation ? Jack est devenu alcoolique, et Pearl, feignant de ne pas remarquer qu'il la trompe est tombée dans la dépression. Le papa de la jolie jeune femme est parti du nid familial, et les deux femmes de la famille Crawford restent en tête à tête dans leur grande villa de Dover, et malgré la fortune qui les accompagne, cela ne remplace pas la présence d’un père pour June. Elle ne supporte plus de devoir supporter la présence d'une mère dépressive qui oublie de plus en plus son rôle de mère, si bien qu'elle se fait émanciper à l'age de 16 ans, et va vire chez sa meilleure amie quelques temps, pour ensuite trouver un appartement. Elle file de conquête en conquête, n’osant pas croire en l’amour après ce qui est arrivé à sa famille, pendant que sa meilleure amie se casse la tête sur ses relations amoureuses… Toujours pareilles malgré leurs différences ! June n'a plus jamais reparlé à ses parents, et a compris que les liens de sang ne sont pas importants. Miss Crawford a perdu des amis, et en a grappillé d’autres. Décidément, ces trois dernières années ont changées bien des choses dans sa vie !
■ Caractère Princesse des glaces, voila comment l’entierté du lycée la nommait. Et ça veut dire ce que ça veut dire ! Glaciale et distante quand elle le veut, June peut être une vraie peste, et montre le plus souvent cette facette d’elle-même, mais uniquement pour se protéger. Sa meilleure amie, et quelques personnes très proches d’elle, tels que Devon Marchal pourront vous le dire : cette fille est adorable ! Voila ce que c’est quand on a la chance d’être son ami. Avec ceux qu’elle aime, elle se montre très gentille, souriante et chaleureuse. Vraie fêtarde, ça, tout le monde le sait, même ses pires ennemis. Les fêtes qu’elle organise sont les plus en vue, et elle ne rate jamais l’occasion de s’amuser ! Vraie pile électrique, elle ne tient pas en place, et ne supporte pas la routine, étant audacieuse et aventurière. June a beaucoup d’humour, et s’en sert pour faire rire ses amis autant que pour blesser ceux qu’elle n’aime pas, avec sa répartie redoutable ! Sarcastique, la demoiselle ! Cependant, elle n’est pas très rancunière, après une bonne réconciliation, elle oublie tout ce qui a précédé. Attention toute fois : si vous vous en prenez à ses amis, alors là, vous aurez à faire à elle, faites vos prières ! Avant, elle était assez superficielle, mais depuis le divorce de ses parents, inexplicablement, June est devenue quelqu’un de beaucoup plus simple et naturel, et elle compte sur ses amis plus que tout. Quand ses parents ont commencé à sombrer l’un dans l’alcoolisme et l’autre dans la dépression, elle a voulu les faire redevenir la petite famille parfaite de Dover, mais n’y est pas parvenue. Elle culpabilise toujours, ne sachant pas de quoi exactement. D’avoir été trop capricieuse, ne profitant pas de l’amour que ses parents lui portaient avant ? D’avoir abandonné sa mère ? Et oui, derrière les apparences, Miss parfaite a bien des blessures, et certaines encore très vives…
III. } MORE ABOUT YOURSELF.
■ Principal qualité; Le dynamisme ■ Principal défaut; Le sarcasme ■ Passion; La mode, la mode, la mode ! Depuis sa naissance, ça n'a fait qu'empirer. ■ Phobie; Voyons, June n'a peur de rien ! Allez, bas les masques. Elle a peur de ses démons, à savoir, le fait d'avoir quitté sa mère dépressive, d'avoir été la cause du divorce de ses parents, du moins, c'est ce qu'elle croit. Et ces peurs là, elle doit vivre avec 24h/24 ! ■ Projets pour l'avenir; Etre une styliste internationalement connue ! Son avenir, elle l'imagine comme ça, ses créations sur la couverture de Vogue, continuer à trainer avec October qui sera l'actrice la plus en vue, et peut-être, trouver l'amour... Mais chuuut ! Ca, elle n'ose pas l'avouer, même pas à sa conscience ! ■ Ton/ta partenaire idéal(e); Derrière les illusions qu'elle continue à entretenir, June est une grande romantique, et rêve d'un prince charmant en armure débarquant sur son cheval blanc ! Bien qu'un beau gosse en jeans débarquant sur sa Vespa lui conviendrait aussi, cela dit... Son idéal masculin serait un garçon attentionné, qui la traiterait avec toute l'attention du monde, mais elle n'ose pas y croire, car une petite voix dans sa tête lui souffle qu'elle n'a aucune chance que quelqu'un comme ça tombe amoureux d'elle... ■ Ton/ta partenaire actuel(le); A part son miroir, pas grand monde !
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| Sujet: Re: J U N E. C R A W F O R D [ U.C. ] Dim 2 Nov - 20:39 | |
| IV. } BEHIND YOUR COMPUTER.
■ Prénom/pseudo; Evaa' ■ Age; 14 ans ■ Célèbritéer incarnée; Selena Gomez ■ Présence sur le forum; O6/O7 jours. ■ Votre avis sur le design; Pas mal ! Pas coup de coeur, mais très joli (L' ■ Votre avis sur le forum entier; j'adore le contexte, et la répartition des PV <3 ■ Niveau RP - Spoiler:
Jenny, les yeux rivés au sol, le teint pale et les yeux embués de larmes, essaya de rester droite, juste le temps que Maxime s’en aille. Elle ne voulait pas faiblir à nouveau. Le jeune homme s’en alla, et elle poussa un léger soupir de soulagement, vite teinté d’une pointe de tristesse. Entendre les pas du beau brun sur les dalles était un déchirement pour elle, le voir s’en aller sans pouvoir rien faire. Elle n’osait même pas lever les yeux pour l’observer partir, sa démarche si unique, son allure, Jenn’ aimait tout chez lui et le regarder à nouveau lui aurait fait trop mal. Mais, il ne s’en allait pas dans la bonne direction ! Cette pensée frappa la jeune femme, interrogative. Et comme pour répondre à sa question, son prince revint vite, et glissa dans son sac un objet. Elle regarda cet objet à l’intérieur du tissu, et ce qu’elle vu fut le sourire de Charlotte. Ce sourire qui lui faisait tant de bien, qui soignait toutes les blessures. Seuls 3 sourires sur terre faisait cet effet à Jenny : celui de Charlotte, de Kaitlin, et d’Olivier. Et Maxime dans tout ça ? … Lui, il n’avait pas besoin de sourire, seul son regard faisait oublier à Miss Woods le monde extérieur. Un regard unique et émouvant.
C’est d’ailleurs ce regard qu’il posa sur elle en lui relevant doucement la tête. Jenny frissonnait à chaque fois qu’il la regardait de cette manière, comme on observe une chose précieuse qu’on traite avec attention. Mais pas de frissons de peur, des frissons de bonheur. Avec toutes les précautions possibles, il la prit dans ses bras en lui soufflant qu’il partait avec elle, ou qu’il ne partait pas. Jenny ferma les yeux, et laissa tomber sa tête contre le torse du jeune homme. L’agresseur était là, pas très loin, au sol, mais peu importe, elle se sentait en sécurité. Elle inspira une bouffée d’air, le parfum de Maxime l’enivrant peu à peu. La terre pouvait s’arrêter de tourner par sa faute que cela n’aurait pas altéré son amour. L’espace d’un instant, sa blessure ne la fit plus souffrir, ne reposant plus sur sa cheville. Pourtant, à chaque pas que faisait le jeune homme, une douleur lançait dans la jambe droite de Jenny, mais elle ne représentait rien face à la souffrance insoutenable qui l’assaillait tout à l’heure. Et cette douleur était si vite submergé par un sentiment bien plus fort, un sentiment tout aussi violent et ancré en elle, mais tellement agréable… Il s’appelle l’amour. L’amour est une douleur, mais dès qu’elle s’en va, on en redemande. C’est là toute la cruauté de cette émotion.
Maxime, ne montrant aucun problème malgré le fait qu’il saignait toujours du nez, et qu’il portait une jeune fille, sans compter que le sol était jonché d’obstacles, il parvint quand même à progresser dans le magasin. Jenny ferma délicatement les paupières, se laissant aller, portée par les ondulations des pas du jeune homme. Et pour la première fois depuis qu’elle a eu la mauvaise idée d’entrer dans ce magasin, les commissures de ses lèvres se relevèrent, en un doux et attachant sourire, tandis qu’une petite larme se détachait de sous sa paupière, roula sur ces cils, avant de glisser le long de sa joue de porcelaine. Quel magnifique tableau que celui d’une belle au bois dormant, souriant et pleurant à la fois dans son sommeil, secourue par un prince attentionné et charismatique. On ne pouvait rêver plus beau comme conte de fée, mais pourtant, Jenny aurait tout fait pour ne pas avoir à le vivre. Du moins, pas de cette façon. Mais comme tout conte de fée, il finissait bien. Et dans cette dernière phrase, ce n’est pas le « bien » qui importe, mais le « finissait » car oui, tout cela était fini, enfin fini.
Jenny réouvrit les paupières, voulant encore profiter du spectacle magnifique que lui offraient les yeux de son sauveur, et un moment, elle fut soulagée. Tout cela n’avait été qu’un rêve, un mauvais rêve. Il n’y avait eu ni coup de feu, ni otages, ni peur. Elle avait juste eu un sommeil agité, et se réveillait dans les bras de la personne la plus importante à ses yeux. Cette version des faits l’aurait comblée, mais malheureusement, la douleur toujours présente dans sa cheville, bien qu’en sourdine, l’informa sur la véracité des évènements. Toujours dans les bras de Maxime, ils passèrent les portes, et arrivèrent dans la rue. Le soleil remplaçant la lueur des néons, le brouhaha de la foule qui s’était amassée là remplaçant l’alarme. Enfin, ils en étaient sortis. Jenny allait désormais être considérée par tout le monde comme une victime, et Maxime comme un héros. Son héros… Les joues de Jenny, si pales auparavant, reprirent une teinte rosée tandis qu’elle prononçait ces mots dans sa tête. Son héros, son prince.
Il la reposa au sol, sur sa jambe valide, un peu plus loin de la foule qui, en quelques secondes, s’étaient amassée devant la boutique. La boutique dans laquelle Jenny ne voulait plus jamais mettre les pieds ! Oh, mais d’un côté, c’est dommage, ils avaient de si belles couleur de vernis ! Songea la jolie brune. Cette pensée la fit esquisser un petit rire. La boucle était bouclée ! Après cet incident dramatique, elle arrivait à rire, c’était un miracle. Et de quoi devait-elle avoir l’air, rescapée d’un fait divers, secourue par un vrai prince charmant, la jambe entaillée par du verre, à rire toute seule ? Elle devait seulement avoir l’air d’une Jenny Woods en train de redevenir elle-même. Elle constata à cet instant que le saignement se sa jambe s’était arrêté, masquant la douleur qui était pour le moment totalement supportable.
Elle se tourna vers Maxime, et se laissa porter par son regard mystérieux. Elle aurait voulu lui sauter au cou, lui dire qu’elle l’aime et l’embrasser, mais le pauvre cœur de la jeune fille avait assez morflé pour la journée. D’ailleurs, il avait assez morflé pour la semaine ! Elle avait besoin de se reposer après ce trop-plein d’émotions. Un échec sentimental, un chagrin d’amour, ce n’était vraiment pas ce qu’il lui fallait, et c’était pourtant sûrement ce qui allait lui arriver si elle n’en faisait qu’a sa tête. Jenny regarda Maxime dans les yeux, une nouvelle larme roulant sur sa joue. D’une voix encore un peu faible, hésitante, mais pourtant imprégnée de reconnaissance éternelle, elle lui murmura dans le creux de l’oreille : « Merci… » ■ Code du règlement; The Jonas Brothers (L' ■ Le dernier mot Jean-Pierre; ENJOY !
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| | | Candice L. Lanfred
"THE PERFECTION IS ME. ! "
Nombre de messages : 147 Age : 30 { Where are you : In your head! { Your love : Is JASON MCPHEEL Date d'inscription : 31/10/2008
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